Pauvres, pauvres humains,
pantins de chair souffrante,
et que j’ai vus pleurer,
et se plaindre,
et gémir.
Vous, entassés debout
dans les trains de la mort,
vous battus,
vous brimés,
et dont les yeux disaient
qu’ils ne comprenaient pas.
... etc
dimanche 2 septembre 2007
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1 commentaire:
Salut !
Philippe nous a dit que tu avais écrit un nouveau message... C'est super !
Le texte est fort comme le reste du recueil qui nous replonge dans les heures de folie de notre siècle, avec la force de celui qui l'a vécu ça donne une autre dimension.
Il m'a dit qu'il verrait pour te mettre la signature publicitaire sur ton mail.
Bon courage
bises
Flo et Stef
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